ࡱ> @ 5Vbjbj.. kDDI7.$@@@P@<2A\~BB(BBBNNN$~&~&~&~&~&~&~$RJ~qOlN"NqOqOJ~FFBB _~RRRqOF"BB$~RqO$~RRn t$hrwBB [7@_PDw y u~0~dwDQ@wFFFFwpN"NRNNNNNJ~J~!1R"1Comit de l'agriculture, Session extraordinaire 17 mai 2006 Accs aux marchs Document de rfrence du Prsident Prfrences de longue date et rosion des prfrences Contexte Le paragraphe9 de la Dclaration ministrielle de Hong Kong (WT/MIN(05)/DEC) dispose, entre autres choses, ce qui suit: " Nous raffirmons que rien de ce dont nous sommes convenus ici ne met en cause l'accord dj consign dans le Cadre au sujet d'autres questions, y compris [] les prfrences de longue date et l'rosion des prfrences." Le paragraphe44 du Cadre convenu (annexe A du document WT/L/579) dispose ce qui suit: "L'importance des prfrences de longue date est pleinement reconnue. La question de l'rosion des prfrences sera traite. Pour la poursuite de l'examen cet gard, le paragraphe16 et les autres dispositions pertinentes du document TN/AG/W/1/Rev.1 serviront de rfrence." Structure de la discussion Introduction Les Ministres ont reconnu l'importance des prfrences de longue date/de l'rosion des prfrences. Pour commencer, je pense qu'il y a quatre rflexions d'ordre gnral qu'il pourrait tre utile de faire. Premirement, je pense qu'au centre de ce que nous avons traiter se trouve la question de l'rosion des prfrences dans la mesure o elle se rapporte aux rgimes prfrentiels de longue date. Je dois dire, en ma qualit de Prsident, que je ne considre pas le Cadre convenu de juillet2004 comme tant ncessairement un modle de clart analytique rigoureuse sur la manire dont les deux concepts s'articulent. Mais je pense qu'il faut au moins dire pour tre juste que le fait de coupler les deux lments est certainement significatif. Ou, pour parler plus clairement, je pense que nous ferions bien de considrer notre tche comme axe sur la question de l'rosion des prfrences dans la mesure o elle se rapporte aux rgimes prfrentiels de longue date. Le contexte ne laisse aucun doute quant au fait que c'est ce que nous devons traiter et que nous n'avons pas nous lancer dans quoi que ce soit de plus thorique que cela. Deuximement, je pense que lorsqu'on examine vraiment la question dans une perspective pratique, on s'aperoit que nous avons faire une srie relativement limite de questions spcifiques des produits. Loin de moi l'ide de sousestimer l'importance de la question mais j'ai le sentiment qu'il devrait tre clair que mme si la question est difficile, sa porte ne doit pas tre exagre. Troisimement, je pense qu'il est important de noter que personne n'essaye de lire dans le Cadre des choses qui n'y figurent pas et qu'il contient en soi une base de dpart positive partir de laquelle travailler. Personne ne conteste l'avis que l'rosion des prfrences doit tre traite. Et, par ailleurs, ceux qui s'inquitent de l'incidence de l'rosion des prfrences ne font pas du moins d'aprs ce que j'entends en fait valoir qu'il ne devrait pas y avoir poursuite de la libralisation pour les produits qui font l'objet d'un accs aux marchs prfrentiel de longue date. Inversement, j'ai entendu des bnficiaires de prfrences de longue date indiquer que, malgr les avantages qu'ils tirent de l'existence de ces rgimes (et ce qu'ils ont donc perdre), ils reconnaissent que ces avantages subiront une rosion du fait de la poursuite de la libralisation des tarifs et qu'ils tudient la manire dont ce processus peut tre effectivement gr pour amortir la transition. Cela me conduit penser qu'aucun Membre ne cherche utiliser la question de l'rosion des prfrences comme moyen d'viter la poursuite de la libralisation, ce qui nous met dans une position de dpart raisonnable pour avancer. Je constate qu'il y a des divergences importantes combler mais il est important de ne pas les exagrer. Quatrimement, il faut accepter le fait que nous ne pouvons pas nous attendre rgler correctement les questions en jeu ici indpendamment de la manire dont nous traitons les autres lments des modalits, savoir essentiellement les abaissements tarifaires appliquer, mme s'il y a clairement d'autres lments qui entrent en ligne de compte, du moins en principe sinon en pratique, qu'il s'agisse de produits sensibles, de produits tropicaux, de progressivit des tarifs, de produits de base, etc. Ce n'est pas une raison pour ne pas traiter les prfrences en temps voulu et nous pouvons le faire. Mais c'est juste pour souligner que nous devons simplement tre conscients du fait que ces questions devront tre coordonnes un moment donn et qu'on ne peut s'attendre rgler certains points tant que d'autres sont en cours, de manire ce qu'on puisse se faire une ide, sinon du tableau d'ensemble, du moins de l'aspect gnral qu'il pourra prendre. Porte de l'rosion des prfrences Pour dfinir notre approche de l'rosion des prfrences, je pense qu'il est important de dfinir de manire raliste la porte de la question en jeu. Une fois que nous aurons mieux compris la porte, nous serons mieux mme de dterminer l'approche qui est approprie. Un rcent document de travail de l'OMC fait observer, dans le contexte des prfrences commerciales non rciproques dans les pays de la Quad, que le risque d'rosion des prfrences est faible mais que certains pays sont particulirement affects en ce qui concerne des lignes de produits particulires. Le document indique que le risque d'rosion des prfrences pour les produits agricoles est concentr sur un ventail relativement troit de produits, une grande partie de l'impact se produisant en fait sur un march d'exportation (voir l'annexe 1). Moyens possibles de traiter l'rosion des prfrences La question qui se pose nous est donc la suivante: comment traiter l'rosion des prfrences de longue date? Les Ministres nous ont dans une certaine mesure montr la voie suivre en ce qui concerne cette question nous devons utiliser, comme rfrence, le paragraphe16 et les autres dispositions pertinentes du document TN/AG/W/1/Rev.1 (voir l'annexe2). Nous ne pouvons pas faire abstraction de ce passage du Cadre convenu comme s'il n'avait pas de sens. Il signifie clairement quelque chose qu'il nous faut approfondir. Cela ne signifie pas que ces dispositions constituent apriori l'approche que nous devons suivre: si les Ministres avaient voulu dire cela, ils l'auraient dit sans ambigut de manire explicite cela aurait figur dans le texte de notre Cadre convenu. Ce n'est pas le cas. Mais ils nous ont dit que nous ne devons pas ignorer ce paragraphe. Au contraire, nous avons pour instruction claire de le fouiller. La manire dont je comprends les choses est qu'en recherchant une approche convenue, nous devrions rexaminer ces dispositions et identifier le cas chant les lments qui pourraient effectivement servir de point de dpart utile de nos discussions. Nous n'y parviendrons pas en disant "eh bien, je n'accepte pas cet lment particulier" et c'est tout. La logique selon laquelle quelque chose est une "rfrence" par opposition un morceau de vieux papier peint est qu'elle devrait tre utilise pour tester des ides. Nous devrions en approcher les diffrents lments en les testant pour voir s'il y a en fait une logique cohrente compatible avec le Cadre de juillet2004 dans son ensemble, afin de modifier ou de varier les approches plus prcises qui y sont nonces. On a fait observer que le traitement de la question de l'rosion des prfrences ne limite pas ncessairement la solution une solution fonde sur le commerce. De fait, des solutions qui ne sont pas fondes sur le commerce, ou qui combinent des solutions fondes sur le commerce et d'autres solutions, pourraient tre le moyen le plus appropri de traiter l'rosion des prfrences. Je ferais observer que certains lments du paragraphe16 du document TN/AG/W/1/Rev.1 permettaient d'envisager des solutions possibles tant commerciales que non commerciales. C'est pour cela que je pense que nous devons rester ouverts toutes les options possibles qui pourront se prsenter nous. La liste ciaprs prsente un certain nombre d'options possibles qui ont t suggres par le pass. Je ne suis pas du tout en train de dfendre une approche thorique abstraite. cet gard, la liste ciaprs a une valeur concrte limite: elle nonce simplement ce qui a t prsent ou suggr. Tout ce que je souhaiterais souligner c'est que nous ne rglerons pas concrtement cette question en discutant des approches qu'elles figurent ou non sur cette liste de manire abstraite. Il s'agira de dterminer des mesures concrtes qui pourraient ou devraient tre applicables des options concrtes en matire de libralisation et, en ce qui concerne ce dernier point, nous n'en sommes pas pour le moment un stade d'accord possible. i) Une priode de mise en uvre plus longue pour les rductions tarifaires affectant ces produits. cet gard, nous avons le libell du paragraphe16 exprimant cette ide; ii) un report du dbut de la priode de mise en uvre pour ces produits. cet gard, nous avons le libell du paragraphe16 exprimant cette ide; iii) une utilisation plus effective des rgimes prfrentiels existants; iv) un accs aux marchs largi pour les produits qui revtent une importance l'exportation vitale pour les Membres bnficiant de prfrences; v) des programmes d'assistance technique cibls et d'autres mesures appropries entrepris par le Membre accordant les prfrences pour aider les Membres bnficiant de prfrences de longue date diversifier leur base d'exportation. Cela figure au paragraphe16; vi) une assistance financire et un renforcement des capacits supplmentaires pour remdier aux contraintes du ct de l'offre, promouvoir la diversification et faciliter l'ajustement et la restructuration; vii) le maintien, dans toute la mesure o cela sera techniquement ralisable, des marges nominales des prfrences tarifaires et autres modalits et conditions des arrangements prfrentiels. Cela figure au paragraphe16; viii) des rductions tarifaires plus faibles pour les produits affects; ix) le choix de produits affects en tant que produits sensibles par le Membre accordant les prfrences, le traitement de ces produits sensibles particuliers tant modifi de manire tenir compte de l'incidence de l'rosion des prfrences et des objectifs de dveloppement; x) l'limination de tout tarif contingentaire; et xi) pas d'accroissement des contingents tarifaires NPF au dtriment des contingents tarifaires ACP existants. L'ide est aussi mise au paragraphe16 d'un filtre permettant de dterminer les produits "pris en compte" aux fins d'un traitement prvoyant un report ou une prolongation de la priode de mise en uvre. Quoi qu'il en soit, je pense que le point le plus important souligner ce stade est une phrase provenant de l'annexe1 de la prsente note, de nature tout fait empirique: "Le graphiqueA.1 montre que prs de 85pour cent des pertes (pour l'ensemble des Membres les plus affects) proviennent du sucre et des fruits et lgumes (dont la plus grande partie est due aux bananes). Une proportion rduite des pertes provient galement des animaux et produits animaux (qui consistent essentiellement en viande de buf) et des boissons et spiritueux." Voil concrtement ce que nous avons traiter et cela ne sera pas rgl dans l'abstrait. Il n'est pas facile en soi de rgler ces questions mais l'important maintenant est au moins de ne pas rajouter aux problmes concrets des problmes abstraits. Annexe 1 Les renseignements prsents dans cette annexe sont tirs du rcent document de travail de l'OMC intitul "Non-Reciprocal Preference Erosion Arising From MFN Liberalization in Agriculture: What Are The Risks?" (L'rosion des prfrences non rciproques dcoulant de la libralisation NPF dans l'agriculture: Quels sont les risques?). En tant que telles, les donnes prsentes ciaprs reprsentent le risque potentiel li l'rosion des prfrences dtermin sur la base d'un certain nombre de facteurs et d'hypothses qui sont exposs dans le document. Si les Membres sont parfaitement libres de discuter la validit des rsultats prsents dans le document, cela serait mon avis un exercice futile qui ne ferait que nous distraire de la tche que nous avons accomplir. En fait, je suis sr que les rsultats de l'tude correspondent de toute faon approximativement ce qu'on pense. Je ne crois pas qu'ils puissent donner lieu de grosses surprises. Mais je suis convaincu que le document est utile pour reprer certains problmes en ce qui concerne notre mandat consistant traiter l'rosion des prfrences et traiter effectivement la mise en uvre de l'engagement de longue date d'obtenir la libralisation la plus complte du commerce des produits agricoles tropicaux et des produits qui revtent une importance particulire pour la diversification de la production en remplacement des cultures de plantes narcotiques illicites. Les rsultats du document indiquent que pour ce qui est du risque d'rosion des prfrences dans la mesure o il se rapporte aux prfrences non rciproques dans l'agriculture, il est fortement concentr entre un nombre limit de produits. Le graphique A.1 montre que prs de 85 pour cent des pertes (pour l'ensemble des Membres les plus affects en pourcentage des exportations agricoles) proviennent du sucre et des fruits et lgumes (dont la plus grande partie est due aux bananes). Une proportion rduite des pertes provient galement des animaux et produits animaux (qui consistent essentiellement en viande de buf) et des boissons et spiritueux.  SHAPE \* MERGEFORMAT  Le tableau A.1 prsente une ventilation des 12Membres qui devraient enregistrer les plus fortes pertes du fait de la poursuite des rductions des tarifs NPF, en termes de risque d'rosion des prfrences, et des principaux produits et marchs d'o pourraient provenir ces pertes potentielles. Les Membres inclus dans le tableau sont ceux pour lesquels on estime que les pertes, par rapport au pourcentage du total des exportations agricoles, dpassent 4pour cent (colonne3). Cela signifie qu'il reste possible qu'un autre Membre perde davantage en valeur absolue mais cette perte absolue plus leve reprsente une part infrieure 4pour cent du total des exportations agricoles. En outre, bien que les principaux produits et marchs o les pertes se produisent soient indiqus, les renseignements ne veulent pas dire que des pertes ne se produiront que sur ces marchs. En fait, c'est le contraire qui est vrai. Par exemple, on estime que les Fidji perdraient aussi du fait de l'rosion des prfrences pour le sucre destin aux tatsUnis, mais la perte serait selon les estimations bien infrieure ce qu'elle pourrait tre sur le march des Communauts europennes. En outre, les exportations de sucre des Fidji vers les tatsUnis reprsentent une part bien infrieure de leurs exportations totales de produits agricoles vers les tatsUnis (11pour cent contre 95,8pour cent vers les CE). Tableau A.1: Membres, produits et marchs les plus affects (1) Membre(2) Valeur des exportations agricoles vers la Quad (millions de $EU)(3) Pertes en pourcentage des exportations agricoles vers la Quad(4) Principaux produits pour lesquels des pertes se produisent(5) Principaux marchs o des pertes se produisent(6) Part du produit dans les exportations agricoles vers le march o se produit la perte (%)(7) Changement dans la valeur des prfrences sur le march o se produit la perte (millions de $EU)Botswana3815,5Viande de bufCE99,2-5,8Sainte-Lucie2512,1BananesCE94,5-3,0Saint-Vincent-et-les Grenadines1611,9BananesCE95,8-1,9Namibie699,5Viande de bufCE71,6-6,6Dominique118,9BananesCE74,4-1,0Belize1178,1BananesCE50,4-5,4Boissons et spiritueuxEU39,7-2,0SucreCE33,1-1,4Maurice3367,0SucreCE91,0-23,2Cameroun6124,9BananesCE36,4-29,6Autres fruits et lgumesCE1,8-0,1SaintKittsetNevis104,7SucreCE97,5-0,5Swaziland1304,3SucreCE66,2-4,1Autres fruits et lgumesCE26,6-0,3SucreEU86,2-0,7Fidji1574,3SucreCE95,8-6,2Guyana1624,1SucreCE69,9-6,1Boissons et spiritueuxCE6,0-0,3 Conformment aux renseignements figurant au graphiqueA.1, le tableau A.1 indique qu'en termes de risque d'rosion des prfrences non rciproques, pour les 12Membres affects figurant en tte de liste, les pertes sont fortement concentres dans les exportations de sucre et de bananes vers lesCE (colonnes4 et5). Ainsi, pour ce qui est de notre mandat consistant traiter l'rosion des prfrences, il y aura clairement un certain chevauchement avec la ncessit de traiter effectivement la mise en uvre de l'engagement de longue date d'obtenir la libralisation la plus complte du commerce des produits agricoles tropicaux et des produits de remplacement. Annexe 2 Le paragraphe 16 du document TN/AG/W/1/Rev.1 dispose ce qui suit: "Dans la mise en uvre de leurs engagements de rduction tarifaire, les participants s'engagent maintenir, dans toute la mesure o cela sera techniquement ralisable, les marges nominales des prfrences tarifaires et autres modalits et conditions des arrangements prfrentiels qu'ils accordent leurs partenaires commerciaux en dveloppement. titre d'exception la modalit prvue au paragraphe8 cidessus, les rductions tarifaires affectant les prfrences de longue date pour des produits dont l'exportation revt une importance vitale pour les pays en dveloppement bnficiaires de ces rgimes pourront tre mises en uvre par tranches annuelles gales sur une priode de [huit]ans au lieu de [cinq]ans par les participants accordant les prfrences concerns, la premire tranche tant reporte au dbut de la [troisime] anne de la priode de mise en uvre qui serait autrement applicable. Les produits considrs reprsenteront au moins [20]pour cent des exportations totales de marchandises de tout bnficiaire concern sur une moyenne de trois ans sur la priode de cinq ans la plus rcente pour laquelle des donnes sont disponibles. Les bnficiaires intresss adresseront une notification la Session extraordinaire du Comit de l'agriculture cet effet et prsenteront les statistiques pertinentes. En outre, tous droits contingentaires pour ces produits seront limins. Les Membres accordant des prfrences entreprendront des programmes d'assistance technique et d'autres mesures, selon qu'il sera appropri, pour appuyer les pays recevant les prfrences dans les efforts qu'ils dploient pour diversifier leurs conomies et leurs exportations." __________  Les rubriques utilises dans le prsent document de rfrence ne le sont qu' titre indicatif.  NonReciprocal Preference Erosion Arising From MFN Liberalization in Agriculture: What Are The Risks? Document de travail de l'OMC (Low, Piermartini et Richtering), ERDS200602, mars 2006.  Les renseignements figurant dans ce graphique concernent les 12Membres du tableau A.1 et se fondent sur les donnes utilises dans l'analyse reprise dans le document de travail de l'OMC intitul "NonReciprocal Preference Erosion Arising From MFN Liberalization in Agriculture: What Are The Risks?".  Le seuil de pertes retenu tant gal ou suprieur 4pour cent des exportations agricoles vers la Quad, les Membres slectionns sur cette base sont les 12 premiers de la liste du document de travail de l'OMC intitul "Non-Reciprocal Preference Erosion Arising From MFN Liberalization in Agriculture: What Are The Risks?". -  PAGE 4 - 3842 -  PAGE 8 - Graphique A.1 Pertes par secteur dans l'agriculture Fruits et lgumes 41% Boissons et spiritueux 3% Animaux et produits animaux 13% Sucre 43% /@RSTUwxyz  8 LS_`X`|7967UfghqOV a ƾƶƾƲƲƮƮƮƪƦƦƦƢƕƢƐ hH6jh3Qh'E0JUh0nhthZh^ h&h3Qh'E5h#gh t h3Qh'Eh3Qh'E56h" h'E:;jh'E0J5Uh3Qh~h'E h'E57@RSTUyz4  k | ,gdtgd^ gdiF $a$gd;X0^`0gdiFgdiFgd'E$a$gd'Egd'EQbUU4VO %'*W++6,,-.//011W2~4z5{5gd'Egd`^``gdQ`^``gdiFgd0ngdiFgdiF L"T"######M%\%%%&&&&*:*=*>*i*m*y**** 1#1$1&122k3s333{55576Y6+707888999$9&9c9r9ǹh/GmH sH hmH sH hurmH sH h.WymH sH h3Qh'EmH sH h h'E5\mH sH h h 5\mH sH hhthQ h3Qh9khHh0n h3Qh'Eh3Qh'E68{554;==eCCCCCCC5D9DtDxDDDE ElE$(($If^a$gd:$(($Ifa$gdMC+gd3Qgd @gd'Egd/G $ha$gdicr999==-=5=========? ?@@AAAAAAHBUBBBBBCCeCmCoC}CCCCCEEcEͺ{nnh05CJaJmH sH h^5CJaJmH sH h5CJaJmH sH h5CJaJmH sH h+h'E5CJaJmH sH hmH sH $jh3Qh'EUmHnHsH ujh3Qh'EUmH sH !jh3Qh'E0JUmH sH h/GmH sH h3Qh'EmH sH +cEdElEmEEEEEEEEEFFFFF!F/F0FVFWF{F|FFFFFFFGG0G1G`GaGGGGGGGGGGG H H3H4H÷èèèÍèèèèèèèèèèèèèÁèèhvRCJaJmH sH h+hL CJaJmH sH hr<;CJaJmH sH h+hH!CJaJmH sH hL CJaJmH sH h+h'ECJaJmH sH h+hH!5CJaJmH sH h+h'E5CJaJmH sH h05CJaJmH sH 1lEmEvE%$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl4֞ _u#: t044 lalvEyE~EEEEE$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+EEE'$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl֞ _u#: t044 lalEEEEEEE$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+EEE'$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl֞ _u#: t044 lalEEEEEEF$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+FF F'$(($Ifa$gdMC+kd%$$Ifl֞ _u#: t044 lal FFF"F%F*F/F$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+/F0F:F'$(($Ifa$gdMC+kdQ$$Ifl֞ _u#: t044 lal:F=FAFIFLFQFVF$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+VFWF^F'$(($Ifa$gdMC+kd}$$Ifl֞ _u#: t044 lal^FbFfFnFqFvF{F$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+{F|F}F'$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl֞ _u#: t044 lal}F~FFFFFF$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+FFF'$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl֞ _u#: t044 lalFFFFFFF$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+FFF'$(($Ifa$gdMC+kd+ $$Ifl֞ _u#: t044 lalFFFFFFF$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+FFF'$(($Ifa$gdMC+kde $$Ifl֞ _u#: t044 lalFFFFFGG$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+GG G'$(($Ifa$gdMC+kd $$Ifl֞ _u#: t044 lal G G G$G'G+G0G$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+0G1GFG'$(($Ifa$gdMC+kd $$Ifl֞ _u#: t044 lalFGIGMGSGVG[G`G$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+`GaGkG'$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl֞ _u#: t044 lalkGoGsGyG|GGG$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+GGG'$(($Ifa$gdMC+kd?$$Ifl֞ _u#: t044 lalGGGGGGG$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+GGG'$(($Ifa$gdMC+kdy$$Ifl֞ _u#: t044 lalGGGGGGG$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+GGG'$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl֞ _u#: t044 lalGGGGGGG$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+GGG'$(($Ifa$gdMC+kd$$Ifl֞ _u#: t044 lalGGGGHH H$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($If]a$gdMC+ H HH'$(($Ifa$gdMC+kd'$$Ifl֞ _u#: t044 lalHHH'H*H.H3H$ (($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($Ifa$gdMC+$(($If]a$gdMC+$(($Ifa$gdMC+3H4H5H'"gd3Qkda$$Ifl֞ _u#: t044 lal4H5H>I^IJJJKKMMNNQQQQQ$R%RRRS&SSSTTTTTIUJU`UaUbUdUeUkUlU{qkq h&0J,jh&0J,Uh&mH sH he hZh'Eh'h'EmH sH h"h'EmH sH hj`hLh/h'EmH sH h'Ejh'E0JUh z h3Qh'EhEVmH sH h3Qh'E5mH sH h@R;mH sH h3Qh'EmH sH h3QmH sH '5HJJKQQQQQ#R$RRRTT`UaUbUqUrUsUtU$a$gd&gdLgd'E$a$gd'Egd'E 0^`0gd'E $a$gd'E $a$gd'Egd3QlUmUnUrUsUtUxUyUzU{U|U}U~UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUչŹ՚yg#hO%h'E5B*CJ\aJphhEh'EmH sH +hEh'E5B*CJ\aJmH phsH heh%h%mH sH  h%0J,jh%0J,Uh%mH sH h'Eh'EmH sH h&mH sH hiUh&h&mH sH  h&0J,jh&0J,Uhe0J,mHnHu%tUyUzU{U|U}U~UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUgd'E$a$gd%UUUUUUUUVVV V!V"V%V'V,V.V1V3V4V5Vh3Qh'EmH sH hiUh'EB*mH phsH h'EhEh'EmH sH hEh'EB*mH phsH UUVVV!V"V&V'V-V.V2V3V4V5Vgd'E5 0&P 1h:p&. 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