ࡱ> >;<=tY bjbjWW ;d==m#]xNNND,>9I,LJJ`|uHHIIIIII$eJYL$INI"II$I J`w I8JN`HIH ~ ?%>( 6NH` ^_۬YH6Organisation Mondiale du CommerceRESTRICTEDS/C/W/51 23 septembre 1998(98-3690)Conseil du commerce des services  services de tourisme Note d'information du Secrtariat introduction Le Secrtariat a tabli cette note sur les Services de tourisme la demande du Conseil du commerce des services dans le cadre du programme d'change d'informations. Par souci de concision et faute de temps, il y est question principalement du tourisme international (tel qu'il est dfini ciaprs), et non du tourisme intrieur ou du tourisme en gnral. Cette note est destine servir de base des discussions approfondies au sein du Conseil. Le tourisme, dfini au sens large, est considr comme la plus grande industrie du monde et l'une des plus dynamiques, reprsentant plus du tiers de la valeur totale du commerce mondial des services. Ce secteur fort coefficient de maind'uvre est une importante source d'emplois, en particulier dans les rgions recules et les rgions rurales. La demande, tant nationale qu'internationale, est directement fonction du niveau des revenus; elle s'est donc dveloppe mesure que la richesse mondiale s'accroissait. L'avnement des vols bon march a radicalement transform l'industrie du tourisme dans son ensemble, mais celle-ci a exprim une vive proccupation face au systme actuel d'accords d'aviation bilatraux, faisant valoir que le protectionnisme limite srieusement le potentiel touristique. La fourniture de services touristiques est caractrise principalement par le mouvement transfrontires des consommateurs le consommateur va vers le fournisseur et non l'inverse, comme c'est le cas pour beaucoup d'autres services. Le secteur du tourisme se compose en fait, du moins en partie, d'une multiplicit de services de sorte que, bien souvent, les statistiques nationales ne rendent pas pleinement compte de son importance conomique. Le tourisme est aussi un produit trs "prissable" en ce sens que les places d'avion ou les chambres d'htel invendues n'ont aucune valeur rsiduelle. Il est trs dpendant de l'infrastructure et il fait appel divers services de transport pour l'acheminement de la clientle. Les rglements rgissant l'immigration et l'entre ou la sortie des voyageurs ont une influence directe sur la fourniture de services touristiques internationaux. Le secteur est confront des dfis importants tels que les problmes d'environnement et d'infrastructure et l'volution technologique rapide. Pendant le Cycle d'Uruguay, un groupe de travail des services de tourisme a t tabli et s'est runi plusieurs fois. sa demande, le Secrtariat a distribu un document intitul "Commerce des services touristiques", dat du 4juillet1989 (MTN.GNS/W/61). Ce document donnait un aperu des activits lies au tourisme, des formes du commerce des services touristiques, des raisons d'tre et des objectifs des rglementations et des rglements en vigueur. Il prsentait des informations statistiques de base sur le secteur et des informations gnrales sur l'Organisation mondiale du tourisme, organisation intergouvernementale du systme des NationsUnies. Le Secrtariat a tabli un autre document, intitul "Classification des services lis au tourisme", en date du 23octobre1990 (MTN.GNS/TOUR/W/1/Rev.1), qui est examin ciaprs. description du secteur Les services relatifs au tourisme et aux voyages (catgorie9 de la Classification sectorielle des services prsente dans le document MTN.GNS/W/120) constituent une catgorie de porte assez limite, qui comprend quatre soussecteurs dont les trois premiers correspondent des positions de la Classification centrale des produits, provisoire (CPC) des NationsUnies. Ces soussecteurs et les positions correspondantes de la CPC sont les suivants: A. Services d'htellerie et de restauration (y compris les services de traiteur) (CPC641643); B. Services d'agences de voyages et d'organisateurs touristiques (CPC7471); C. Services de guides touristiques (CPC7472) et D. Autres services. Il n'y a pas d'autres subdivisions dans la classification du document W/120. Les activits lies au tourisme qui font partie de catgories de services plus gnrales notamment de nombreux services de transport, mais aussi certains services fournis aux entreprises, ainsi que les services de distribution et les services rcratifs, culturels et sportifs sont gnralement classes dans ces catgories. Dans la CPC provisoire, la catgorie des services d'htellerie et autres services d'hbergement (position 641) est divise en trois souscatgories: les services d'hbergement en htel (position 6411), les services d'hbergement en motel (position 6412) et les autres services d'hbergement (position 6419), cette dernire comprenant, entre autres, les services de camps de vacances pour enfants et les services d'auberges de jeunesse. La catgorie des services de restauration (position 642) comprend les souscatgories suivantes: services de repas dans les restaurants traditionnels (position 6421), services de repas dans les restaurants libreservice (position 6422), services de traiteur (position 6423) et autres services de restauration (position 6429). La catgorie des services de vente de boissons consommer sur place (position 643) est divise en services sans spectacle (position 6431) et services avec spectacle (position 6432). La catgorie des services d'agences de voyages et d'organisateurs touristiques (position 7471) et celle des services des guides touristiques (position 7472) ne sont pas subdivises. Comme cela est dit dans le document du Secrtariat intitul "valuation qualitative de la pertinence des modifications rsultant de la CPCRev.1 des fins de ngociations commerciales" (S/CSC/W/9, dat du 9octobre1997, page3), l'adoption de la CPCRev.1 n'entranerait pas de modification majeure pour le secteur du tourisme: "En ce qui concerne les htels et les restaurants, les seules modifications sont l'agrgation des htels et des motels (cinq Membres seulement ont fait une offre portant sur un seul de ces deux secteurs et auraient modifier le libell de leur offre) et l'agrgation des services de vente de boissons sans spectacle et avec spectacle (aucune offre ne devra tre modifie car les cinq Membres qui sont alls jusqu' ce niveau de dtail ont prsent une offre portant sur les deux secteurs la fois). En ce qui concerne les agences de voyages, les organisateurs touristiques et les guides touristiques, la seule modification est la division des "services d'agences de voyages et d'organisateurs touristiques" (position74710 de la CPC provisoire) en trois catgories: agences de voyages (position67811 de la CPCRev.1), organisateurs touristiques (position67812 de la CPCRev.1) et services d'informations touristiques (position67813 de la CPCRev.1). Cela pourra peuttre encourager prendre des engagements dans ces soussecteurs car ceuxci n'auront plus ncessairement tre considrs comme un tout." L'OCDE note qu'il est trs difficile de dfinir ou de quantifier avec prcision les services touristiques. Pour amliorer la connaissance du secteur, l'OCDE a labor des comptes conomiques du tourisme et a organis avec Eurostat, en1993, le premier Forum international sur les statistiques du tourisme afin de poursuivre les changes de vues. La coopration se poursuit aussi avec l'Organisation mondiale du tourisme. L'objectif est de mettre au point des comptes satellites du tourisme afin de disposer de donnes internationales comparables et d'un meilleur cadre analytique. Les comptes satellites doivent permettre de quantifier les activits lies au tourisme en valuant la part qu'il reprsente dans chaque secteur. Cette mthode est actuellement applique ou mise au point dans des pays comme le Canada, le Mexique et l'gypte. L'Organisation mondiale du tourisme (OMT) dfinit le tourisme international comme une activit qui a lieu lorsqu'un voyageur franchit une frontire internationale (tableau1). La dfinition du tourisme en gnral dans le cadre de l'AGCS, telle qu'elle apparat dans le document W/120, laisse de ct de nombreuses activits de services, comme les systmes informatiss de rservation, les transports, la construction d'htels et la location de vhicules, que l'OMT considre comme des activits essentielles lies au tourisme. L'OMT a d'ailleurs indiqu qu'elle n'tait pas satisfaite de cette dfinition et qu'elle aimerait qu'elle soit rvise lors du prochain cycle de ngociations sur les services qui dbutera en2000. Pendant le Cycle d'Uruguay, le Secrtariat a distribu un document intitul "Classification des services lis au tourisme", dat du 23octobre1990 (MTN.GNS/TOUR/W/1/Rev.1). Ce document contient une liste indicative des activits touristiques primaires, tablie d'aprs le projet de classification internationale type des activits touristiques (CITAT) de l'Organisation mondiale du tourisme. La CITAT recense environ 70activits lies la fourniture de services touristiques et 70autres qui ne sont que partiellement destines au tourisme. L'OMT a tabli une correspondance entre ces activits et les catgories de la classification sectorielle des services prsente dans le document W/120 (tableau2). La note du Secrtariat indique en outre que, d'aprs l'OMT, les principaux postes de dpenses touristiques dans le monde sont l'hbergement, la restauration, les transports locaux, les activits de loisir et les achats. Questions examiner de plus prs - Faudraitil largir la dfinition actuelle du tourisme donne dans le cadre de l'AGCS, telle qu'elle apparat dans le document W/120, pour faire en sorte que les autres services lis au tourisme soient inclus dans les engagements des Membres concernant ce secteur? Les Membres devraientils considrer uniquement les activits expressment lies au tourisme, comme la construction ou la gestion d'htels? - Serait-il utile de se rfrer la CITAT pour faciliter la ngociation future d'engagements concernant tous les secteurs de services lis au tourisme? importance et principales CARACTRISTIQUES CONOMIQUES du secteur D'aprs les estimations du Conseil mondial des voyages et du tourisme, organisation compose de dirigeants des secteurs des voyages et du tourisme, ces deux activits ont reprsent en1996 10,7pour cent du PIB mondial et leur part devrait passer 11,5pour cent en2006. Par comparaison, la part du tourisme international est beaucoup plus faible. D'aprs l'OMT, 7pour cent de la population mondiale effectuera des voyages internationaux en2020, contre 3,5pour cent en1996. Le tourisme international a cependant une incidence trs nette sur le volume du commerce ainsi que sur les recettes en devises. C'est un secteur o les pays en dveloppement enregistrent rgulirement un excdent commercial: en1995, le transfert net entre les pays de l'OCDE et les pays non membres s'levait 23,5milliards de dollars, en hausse trs nette par rapport 1985 o il n'tait que de 6,2milliards de dollars. D'aprs l'OMT, les recettes mondiales du tourisme international en1995 (dernire anne pour laquelle on dispose de donnes) s'levaient 484milliards de dollars, dont 84milliards au titre des transports touristiques internationaux. Ce chiffre reprsentait un peu plus du tiers de la valeur totale du commerce mondial des services. Toujours d'aprs l'OMT, le tourisme figure parmi les cinq premires catgories d'exportations dans 83pour cent du pays, notamment en Europe, au MoyenOrient et dans les Amriques, et c'est la principale source de devises dans au moins un pays en dveloppement sur trois. Les pays o le ratio des recettes touristiques au PNB est le plus lev sont gnralement de petits pays insulaires (tableau3). Bien qu'une grande partie des recettes brutes du tourisme (entre 50 et 70pour cent) sortent de ces pays pour financer les intrants touristiques imports, le ratio des recettes nettes au PNB reste beaucoup plus lev que dans la plupart des pays plus importants. En1995, les recettes du tourisme de l'ensemble des pays en dveloppement reprsentaient prs de 9pour cent de la valeur de leurs exportations de marchandises contre 5,9pour cent dix ans plus tt. Dans les pays dvelopps, elles en reprsentaient 7,7pour cent, contre 6,3pour cent auparavant. D'aprs des estimations du Conseil mondial des voyages et du tourisme pour 1993, le secteur dans son ensemble employait un salari sur dix dans le monde, ce qui en faisait le plus gros employeur du monde. L'OMT note cependant que "la contribution du tourisme l'emploi et son potentiel de cration d'emplois sont deux des questions fondamentales concernant l'importance sociale et conomique du secteur. Mais il est difficile d'en valuer exactement le volume et l'incidence conomique car il existe trs peu de donnes fiables et comparables sur l'emploi dans le secteur du tourisme au niveau international". Les effets du tourisme sur l'emploi sont triples: effets directs rsultant des dpenses des touristes; effets indirects, comme la cration d'emplois dans les entreprises qui fournissent des entreprises de tourisme; et effets induits sur l'ensemble de l'conomie, dus aux dpenses rsultant des effets directs et indirects sur l'emploi. La difficult d'valuer l'incidence sur l'emploi tient principalement ce que le tourisme est luimme difficile dfinir et quantifier, car, comme cela tait dit prcdemment, seuls quelques services sont exclusivement consacrs au tourisme. Les rares donnes statistiques disponibles ne concernent gnralement que des soussecteurs particuliers, comme l'htellerie, et que les pays plus dvelopps (tableaux 4 et 5, respectivement) Dans les pays en dveloppement, l'emploi dans le secteur du tourisme est dj important et il va en augmentant en raison de la forte croissance du secteur par rapport l'ensemble de l'conomie. La CNUCED note que le commerce des services touristiques a t concentr jusqu' prsent dans les pays dvelopps, mais que la part des pays en dveloppement a progressivement augment, reprsentant aujourd'hui environ un tiers du total. Les pays les moins avancs enregistrent une forte augmentation du nombre de touristes, mais leur part des arrives internationales et des recettes du tourisme reste trs faible, 0,7 et 0,4 pour cent respectivement. Les pays o le tourisme progresse rapidement (partant souvent de trs bas) sont notamment le Cambodge, le Mali, le Laos, Myanmar, l'Ouganda et la Tanzanie. La situation varie considrablement selon les pays et elle est fortement influence par l'instabilit politique et conomique et par l'existence de moyens de transport. Comme le secteur ncessite beaucoup de main-d'uvre, les pays en dveloppement et les pays les moins avancs semblent avoir un avantage comparatif potentiel considrable. D'aprs les prvisions de l'OMT, le nombre d'arrives de touristes internationaux s'lvera 702millions en 2000 et 1,1 milliard en 2010. Il faut noter que les voyages lis au tourisme, mme international, ont lieu principalement l'intrieur d'une mme zone gographique. En 1997, la France a t, comme les annes prcdentes, la premire destination touristique avec 66,8 millions d'arrives, suivie par les tats-Unis (49 millions d'arrives), l'Espagne (43,4 millions d'arrives) et l'Italie (34,1millions d'arrives), d'aprs les chiffres de l'OMT. Parmi les pays en dveloppement, la Chine tait sixime, le Mexique huitime, Hong Kong, Chine seizime, la Turquie dix-neuvime et la Thalande vingtime. Le nombre total d'arrives enregistres dans le monde tait de 612,8 millions, soit une augmentation d'un peu plus de 3pour cent par rapport 1996. D'aprs l'OMT, les recettes au titre du tourisme international, l'exclusion des transports, ont plus que tripl au cours des dix dernires annes, progressant d'environ 13 pour cent par an. En 1997, les tats-Unis venaient en premire position avec des recettes brutes d'un montant total de 75,1milliards de dollars, suivis par l'Italie (30 milliards de dollars), la France (27,9 milliards de dollars) et l'Espagne (27,2 milliards de dollars). Parmi les pays en dveloppement, la Chine tait huitime, Hong Kong, Chine dixime et la Thalande douzime. La diffrence par rapport au classement en fonction des arrives de touristes internationaux tient la variation des dpenses moyennes des touristes suivant les pays. Les recettes mondiales s'levaient 443,8milliards de dollars, soit une augmentation de 2,3 pour cent par rapport 1996. Des donnes comparatives sur les recettes et les dpenses internationales sont prsentes dans les tableaux 6 9. Les voyages sur de longues distances et les voyages transcontinentaux sont effectus principalement par avion de mme qu'une grande partie des voyages courte distance, et certaines destinations touristiques ne sont accessibles que par air. D'aprs les statistiques de l'OMT, les arrives par avion reprsentent plus de 90 pour cent des arrives totales dans la grande majorit des pays en dveloppement. Le dveloppement des vols tarif rduit, aprs l'arrive des avions gros porteurs dans les annes 80, et l'augmentation rapide du nombre de passagers qui en a rsult ont t le principal dterminant de l'volution rcente de l'industrie du tourisme. Les principaux problmes qui se posent aujourd'hui dans le secteur des transports touristiques sont notamment la planification de la flotte (pour mieux adapter l'offre la demande), la congestion, la scurit et l'impact sur l'environnement. Bien que les statistiques sur l'industrie htelire internationale soient incompltes et que les dfinitions varient, le nombre de lits d'htel dans le monde tait estim 24 millions en 1995, soit une augmentation de prs de 50 pour cent par rapport 1980. Les recettes totales taient estimes cette anne-l 253 milliards de dollars. L'Europe reprsentait environ 45 pour cent de la capacit htelire totale, suivie par les Amriques avec environ 35 pour cent et par l'Asie de l'Est/Pacifique avec un peu plus de 14 pour cent. Les fusions dans le secteur se sont multiplies pour des raisons conomiques, technologiques et logistiques. Aux tats-Unis, les trois quarts des htels font partie d'une chane alors que la proportion n'est que d'un quart environ dans le reste du monde o le classement des htels selon le nombre d'toiles reste un facteur plus important que l'image de marque cre par les efforts de marketing des grandes chanes. Toutefois, certains hteliers se mfient des systmes de classement relevant des pouvoirs publics car les autorits auraient tent, dans certains pays, de leur associer des mesures fiscales et un contrle des prix. D'aprs les estimations, les repas reprsentent de 18 20 pour cent des dpenses des touristes. Dans l'ensemble, les restaurants et les dbits de boissons sont trs sensibles aux conditions conomiques, d'o un taux de rotation lev. Aux tats-Unis, les grands htels internationaux tirent encore environ 30 pour cent de leurs recettes des ventes des repas et de boissons, bien que cette part diminue progressivement en raison de l'volution des gots des consommateurs. Les services de restauration fournis bord des avions ou d'autres moyens de transport sont une autre composante importante du secteur. Le dveloppement du franchisage international est une tendance notable parmi les tablissements de restauration indpendants. En 1992, il y avait environ 67 000 agents de voyages dans le monde, dont 47 pour cent aux tatsUnis et 30 pour cent en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. Les progrs technologiques, notamment le dveloppement des services en ligne et des voyages sans billet, rduisent considrablement le rle de ces intermdiaires. Les plus menaces seraient les petites agences de quartier et les grandes socits qui ont une clientle d'entreprises. Le fait que les compagnies ariennes aux tatsUnis rduisent les commissions qu'elles paient aux agents de voyages est un autre facteur. En 1995, les grandes compagnies ariennes amricaines ont dcid de plafonner ces commissions afin de rduire leurs cots. En consquence, le montant moyen des commissions verses pour les ventes de billets des compagnies intrieures a diminu. Les chanes htelires et les organisateurs de croisires sont moins touchs car les recommandations des agents de voyages restent trs importantes. Dans le cas de la fourniture directe de services touristiques, le consommateur rserve et achte directement auprs du prestataire, par exemple une compagnie arienne ou un htel. Dans le cas de la fourniture indirecte, les intermdiaires peuvent tre des grossistes (en gnral des organisateurs de voyages forfait), des voyagistes ou des dtaillants (agences de voyages). Les avantages pour le consommateur sont souvent des prix plus bas et le fait de pouvoir comparer diffrentes formules et acheter des voyages tout compris. Dans les pays en dveloppement, de nombreux prestataires passent par des voyagistes internationaux pour la vente et le marketing car, faute de ressources pour organiser des campagnes de marketing internationales, ils n'ont gure d'autre choix. L'essor rapide des systmes mondiaux de distribution (SMD) et des systmes informatiss de rservation (SIR) illustre les progrs technologiques rcents. la diffrence de la plupart des autres services lis au tourisme, pour lesquels une prsence physique est ncessaire, ces systmes permettent la fourniture transfrontires des services. Les SIR sont en gnral des systmes exclusifs servant vrifier les vols disponibles, faire des rservations et, bien souvent, mettre des billets. Ils peuvent aussi servir pour les rservations d'htel et la location de voitures. Les SMD permettent quant eux de regrouper de faon "neutre" et d'afficher les informations fournies par diffrents SIR. Comme certains propritaires de SIR craignaient que leurs donnes ne soient falsifies ou prsentes de faon partiale, des codes de conduite ont t labors afin de protger l'intgrit et la neutralit des informations contenues dans les SMD. cela s'ajoute le fait que certains SIR dtiendraient des droits de distribution monopolistiques, empchant ainsi la distribution de certains produits par le biais des SMD. La popularit croissante d'Internet suscite une nouvelle vague de mutations technologiques rapides, qui devrait acclrer l'volution du rle des agents de voyages. L'avantage d'Internet est qu'il permet de mettre les produits de voyage la porte de tous un cot beaucoup plus faible et les pays en dveloppement pourraient en tirer profit mesure que leurs systmes de tlcommunication s'amliorent. Les SMD et les SIR tant maintenant interconnects avec Internet, on s'attend ce que les ventes de billets d'avion et d'autres billets par ce biais passent de 800millions de dollars en1997 8,9milliards de dollars en2002. Les efforts de marketing de nombreux fournisseurs de services touristiques sont de plus en plus cibls sur les internautes. Questions examiner de plus prs: - Quels pourraient tre les effets de la crise asiatique (et de ses rpercussions conomiques mondiales) sur le tourisme international? Les prvisions de croissance antrieures peuvent-elles toujours tre considres comme fiables? - Quels sont, pour les pays en dveloppement, les avantages et les risques potentiels des changements technologiques rapides qui touchent actuellement le tourisme? structure rglementaire et restrictions au commerce L'OCDE a publi en1990 un Inventaire des mesures perues comme constituant des obstacles au tourisme international dans la zone de l'OCDE. Cette tude concluait que, par comparaison avec d'autres secteurs de services, le secteur du tourisme dans les pays de l'OCDE tait "remarquablement exempt de pratiques protectionnistes et discriminatoires. La note du Secrtariat de juillet1990 sur le commerce des services touristiques soulignait que les rglements affectant le tourisme, notamment les limitations visant les IED, taient gnralement la consquence de proccupations conomiques, politiques et sociales s'appliquant de nombreux secteurs. Il arrive parfois que des restrictions soient imposes la fois par l'importateur et par l'exportateur de services, notamment sous la forme de mesures de contrle de l'immigration et de mesures de scurit, de prescriptions en matire de documents et de restrictions aux mouvements de devises visant les touristes ou les entreprises de tourisme. Certains rglements applicables au secteur du tourisme peuvent viser notamment protger les consommateurs, garantir la responsabilit financire ou favoriser le dveloppement de l'conomie nationale et de l'industrie touristique locale. Le manque de transparence des rglements ou le refus d'appliquer le traitement national peuvent aussi constituer des obstacles gnraux au commerce international des services touristiques. Il existe apparemment peu d'tudes sur le dveloppement du tourisme qui pourrait rsulter de la suppression des restrictions. Un reprsentant de la CNUCED a not que, pour renforcer la comptitivit du secteur dans les pays en dveloppement, il fallait moderniser le cadre rglementaire, renforcer la capacit institutionnelle (mcanismes de coordination et de planification), appliquer les normes internationales et renforcer les rgles de la concurrence. D'aprs un reprsentant de l'industrie touristique suisse, le tourisme implique des conomies de champ plutt que des conomies d'chelle car de nombreux secteurs dont la plupart ne sont que partiellement concerns par cette activit doivent cooprer troitement dans des domaines comme les systmes de distribution et la publicit. Il est donc important que les politiques nationales du tourisme mettent l'accent sur le caractre vertical du secteur pour ce qui est du marketing et de la dfinition des orientations. Comme l'a not l'OMT, il faut disposer d'une infrastructure adquate (et convenablement entretenue) pour favoriser le tourisme tant national qu'international. Il faut bien videmment des installations aroportuaires et portuaires, des routes, des systmes de tlcommunication et des rseaux de distribution d'eau et d'lectricit et des installations de traitement des eaux uses. Pour ce qui est des installations touristiques proprement dites, il faut accorder l'attention voulue aux moyens d'hbergement et de restauration ainsi qu'aux transports locaux. Par ailleurs, l'accs des pays en dveloppement aux SMD se heurte des obstacles financiers et techniques considrables: pour les petites compagnies ariennes et pour les petits voyagistes, les frais de rservation des SIR sont prohibitifs; de plus, dans ces pays, les services d'"arrire-guichet" sont insuffisamment dvelopps. Le groupement en association pourrait permettre de raliser les conomies d'chelle ncessaires pour accder aux SIR et les SMD pourraient tre dvelopps sur une base nationale. La normalisation des systmes lectroniques et des interfaces pourrait galement rduire les cots. D'aprs la CNUCED, les exportations de services touristiques des pays en dveloppement sont freines par l'loignement de ces pays des principaux pays metteurs et par le cot lev du transport arien d la faible densit du trafic. Le Conseil mondial des voyages et du tourisme (WTTC) estime que les politiques ariennes protectionnistes entravent considrablement le dveloppement du tourisme. D'aprs l'un de ses reprsentants, le protectionnisme dans le domaine de l'aviation tient la clientle l'cart de toute la chane des voyages et du tourisme htels, centres touristiques, location de voitures, systmes informatiss de rservations, loisirs, attractions culturelles, etc. Dans un rcent rapport, le Conseil prconise la libralisation des transports ariens, notant que, dans la plupart des pays, les recettes brutes provenant des services d'htellerie et des autres services touristiques sont beaucoup plus importantes que celles de la compagnie arienne nationale, et la "dperdition" des recettes en devises est proportionnellement bien moindre. Un reprsentant du WTTC a fait valoir que de nombreux accords bilatraux encouragent l'inefficacit dans le domaine du transport arien en limitant l'accs aux marchs, en contrlant les prix et la capacit et en protgeant les transporteurs publics dficitaires. En dcembre1994, l'Organisation de l'aviation civile internationale a organis une confrence mondiale pour examiner la rglementation du transport arien international. Il y a t question des accords "ciel ouvert", mais, parmi les Membres, les pays en dveloppement et certains pays dvelopps ont estim qu'ils menaaient leur participation aux transports ariens internationaux. La Confrence a donc dcid que chaque tat pourrait avancer son propre rythme en recourant des mcanismes bilatraux, rgionaux ou multilatraux. Plusieurs options ont t envisages pour permettre aux pays en dveloppement de procder une libralisation progressive, notamment en commenant par libraliser les vols affrts. D'aprs l'Organisation mondiale du tourisme, le tourisme durable peut tre dfini en gros comme le fait de satisfaire les besoins des touristes actuels et des rgions d'accueil tout en protgeant et en amliorant les possibilits futures. Le "dveloppement durable" peut tre dfini comme "un effort soutenu pour mieux rpondre aux besoins d'une population sans que cela porte atteinte l'environnement", et l'"cotourisme" comme "une faon responsable de visiter des zones naturelles en prservant l'environnement et en amliorant le sort de la population locale". Bien que le tourisme de masse soit souvent accus de saper les fondements socioconomiques de la vie locale "traditionnelle", le tourisme peut en fait avoir des effets positifs, notamment en contribuant la relance de l'artisanat local. Il existe de puissantes incitations protger l'environnement tant dans l'industrie qu'au niveau de la clientle. En 1995, le Conseil mondial des voyages et du tourisme, l'Organisation mondiale du tourisme et le Conseil de la Terre ont publi un plan commun pour l'environnement, intitul Agenda21 for the Travel and Tourism Industry: Towards Sustainable Development. Ce plan traite de questions telles que l'utilisation des dchets, la conservation de l'nergie et des ressources non renouvelables, la gestion de l'eau, la participation des communauts locales, la sensibilisation des clients et la formation du personnel. Il prvoit la mise en place de mcanismes de consultation entre les pouvoirs publics, l'industrie, les communauts locales et les groupes environnementaux. Le rseau de communication sur l'environnement ECoNETT de la Communaut europenne est un exemple d'initiative prise au niveau gouvernemental. La libralisation du commerce dans le secteur du tourisme, y compris le mouvement accru des personnes physiques, a amen exiger l'laboration de normes internationales. L'Organisation mondiale du tourisme a tabli des normes de qualit concernant les ressources humaines et est en train d'laborer d'autres normes qualitatives, en commenant par celles qui doivent s'appliquer aux destinations touristiques. L'Organisation internationale de normalisation a cr un groupe de travail charg d'examiner des normes de terminologie htelire. Par ailleurs, des certificats de conformit sont dj dlivrs aux centres d'information touristiques dans des pays comme la France . Questions examiner de plus prs: - Estil ncessaire de recueillir davantage d'informations, ventuellement pays par pays, sur les rglements relatifs au tourisme qui n'ont pas t mentionns dans les listes des Membres? - L'acceptation et l'utilisation plus larges au niveau international des normes internationales favoriseraient-elles l'augmentation des changes, y compris le mouvement des personnes physiques? ngociations sur les services touristiques et engagements souscrits dans le cadre de l'agcs En septembre1998, 112Membres de l'OMC avaient souscrit des engagements dans le secteur du tourisme dans le cadre de l'AGCS (tableau10), ce qui est plus que pour n'importe quel autre secteur. Cela tmoigne de la volont de la plupart des Membres de dvelopper ce secteur et d'attirer les IED afin de stimuler la croissance conomique. De l'avis de l'OMT, le secteur tait dj trs libralis avant les ngociations du Cycle d'Uruguay et il subsiste maintenant peu d'obstacles majeurs. Sur les 112Membres concerns, 66 ont fait rfrence la CPC au niveau des positions correspondant celles de la classification du document W/120, qui comprennent des positions trois chiffres (CPC641, 642 et 643) et quatrechiffres (CPC7471 et 7472), alors que trois Membres ont souscrit des engagements ce niveau de correspondance, mais en ajoutant des lments spcifiques. Dixsept autres Membres se sont rfrs la CPC un niveau plus dtaill (quatre ou cinqchiffres) et quatre autres ont la fois fait rfrence la CPC un niveau plus dtaill et inscrit des lments spcifiques. Quatorze autres Membres se sont rfrs la classification du document W/120 sans citer la CPC et un s'est rfr ce document en inscrivant des concepts spcifiques. Enfin, septMembres ne se sont rfrs ni la CPC ni au document W/120. On peut noter enfin, dans les engagements souscrits, le nombre relativement important de "concepts spcifiques" tels que "cration d'htels", "marinas", "location de yachts et de bateaux de plaisance". Le niveau des engagements concernant l'accs au march et le traitement national prvu dans les listes varie considrablement suivant le mode de fourniture dans l'ensemble du secteur (tableau11). C'est pour la consommation l'tranger qu'il y a le plus d'engagements sans limitation de l'accs au march (mention "nant" dans la liste pour tous les soussecteurs o des engagements sont pris) (49pour cent) et c'est pour la prsence de personnes physiques qu'il y en a le moins (1pour cent). Dans le cas du traitement national, le schma est le mme: 52 pour cent des Membres ont pris des engagements sans limitation pour la consommation l'tranger et 11pour cent pour la prsence de personnes physiques. S'agissant des modes de fourniture "non consolids", c'estdire pour lesquels aucun engagement n'a t souscrit, c'est pour la fourniture transfrontires que la proportion est la plus leve, tant pour l'accs au march que pour le traitement national, principalement pour des raisons de nonfaisabilit technique (respectivement, 27pour cent et 24pour cent). Le tableau12, qui prsente une analyse plus dtaille par soussecteur, fait apparatre un schma analogue celui qui se dgage pour l'ensemble du secteur. Le nombre d'engagements souscrits varie aussi considrablement d'un soussecteur l'autre. C'est pour les services d'htellerie et de restauration (soussecteurA) qu'il y en a le plus (les 112Membres concerns); viennent ensuite le soussecteurB (Services d'agences de voyages et d'organisateurs touristiques) avec 89engagements, le soussecteurC (Services de guides touristiques) avec 54engagements et le soussecteurD (Autres services) avec seulement 13engagements (tableau10). Pour ce dernier, plusieurs Membres n'ont pas prcis dans leur liste ce que leur engagement recouvre; d'autres ont mentionn des activits particulires, et un a inscrit des engagements concernant les transports. Sur les 112Membres qui ont souscrit des engagements, dix l'ont fait dans les quatre soussecteurs, 45 dans trois soussecteurs, 36 dans deux et 21 dans le premier seulement (tableau10). Autrement dit, prs de la moiti des Membres qui ont pris des engagements l'ont fait dans au moins trois soussecteurs. Parmi les restrictions les plus courantes inscrites dans les listes, la mention "non consolid" pour cause de non-faisabilit technique apparat frquemment pour la fourniture transfrontires de services d'htellerie et de restauration, comme cela a t dit prcdemment. Un examen des besoins conomiques est souvent exig pour l'ouverture de bars ou de restaurants. Des prescriptions en matire de citoyennet sont parfois imposes pour la dlivrance de permis de vente d'alcool et de licences de guides touristiques. En ce qui concerne la prsence commerciale, l'accs aux marchs n'est garanti, dans bien des cas, que pour les htels d'une certaine taille (par exemple, de 50 ou 100chambres), la cration d'htels plus petits tant soumise un examen des besoins conomiques. Dans certains cas, une licence est exige pour tablir une prsence commerciale tandis que dans d'autres, la prsence commerciale est limite un plafond fixe de participation au capital. Le Mexique a inscrit dans sa liste une exemption de l'obligationNPF concernant le tourisme eu gard des dductions fiscales accordes aux personnes qui assistent des congrs. Dans le secteur des transports ariens, les Membres ont inscrit un nombre important (16) d'exemptions de l'obligation NPF pour les SIR ainsi que des exemptions pour d'autres mesures relatives l'aviation. De nombreux Membres ont aussi inscrit des exemptions gnrales de l'obligationNPF qui peuvent avoir un effet sur le secteur du tourisme, notamment pour des mesures assurant un accs prfrentiel aux personnes physiques. Questions examiner de plus prs: - Faudraitil accorder une plus grande attention au fait que la libralisation dans le secteur du tourisme dpend largement des engagements souscrits dans d'autres secteurs relevant de l'AGCS? - Les Membres souhaiteraientils examiner de nouveau s'il serait ncessaire d'ajouter une annexe l'AGCS pour reconnatre formellement que le tourisme a une porte plus tendue que ne l'indique la dfinition retenue dans le cadre de l'AGCS? SOURCES D'INFORMATION SUPPLMENTAIRES On trouvera d'autres informations utiles sur les sites Internet suivants: - Air Transport Association (http://www.air-transport.org/) - Caribbean Tourism Organization (http://www.caribtourism.com/) - Hotel & Catering International Management Association (http://hcima.org.uk/) - Association du transport arien international (http://www.iata.org/) - International Association of Convention and Visitors Bureaus (http://www.iacvb.org/) - Organisation de l'aviation civile internationale (http://www.icao.org/) - International Hotel & Restaurant Association (http://www.ih-ra.com/) - Indian Ocean Tourism Organisation (http://www.cowan.edu.au/pa/ioto/) - International Federation of Information Technology & Tourism (http://www.ifitt.org/) - Pacific Asia Travel Association (http://www.pata.org/) - Tourism Industries Network (http://www.tinet.ita.doc.gov/) - Programme des NationsUnies pour l'environnement (http://www.unep.org/) - Association mondiale des agences de voyages (http://www.kenpubs.co.uk/watanetwork/) - Organisation mondiale du tourisme (http://www.world-tourism.org/)  Tableau 2: Correspondance entre les activits consacres au tourisme incluses dans la CITAT et la classification sectorielle des services tablie dans le cadre de l'AGCSa Projet de liste Section 1 Services fournis aux entreprises . achat ou vente de logements touristiques propres ou lous . agents immobiliers pour logements touristiques . gestion de logements touristiques . location de voitures . location de motocycles . location de vhicules des fins rcratives, de camionnettes de camping et de caravanes . location d'embarcations et de matriels connexes . location de bicyclettes . location d'quipements de ski . location de biens se rapportant au tourisme . recherche sur le tourisme et tudes de march relatives au tourisme . services de conseil pour les affaires et le management touristique . architecture et ingnierie touristiques . publicit touristique . photos d'identit . services de traduction . bureaux d'information . syndicats d'initiative pour les visiteurs et les organisateur de congrs Note: Ni la CITAT ni la classification de l'AGCS ne mentionnent les services de sant pour voyageurs, les services d'assistance aux voyageurs (lis l'assurance-voyage, mais distincts d'elle) et les services de rapatriement (qui peuvent faire partie de l'assistance aux voyageurs). La catgorie "services collectifs, sociaux et personnels" de la CITAT, comprend les "socits d'aide aux voyageurs" ("normalement formes de membres volontaires"). Section 2 Services de communication Note: Ni la CITAT ni la classification de l'AGCS ne mentionnent les bases de donnes sur les destinations. Section 3 Services de construction et services d'ingnierie connexes . construction d'installations commerciales (htels, etc.) . construction d'installations rcratives (pistes de ski, terrains de golf, marinas, etc.) . travaux publics installations de transport . rsidences de villgiature rsidences secondaires, maisons de vacances Section 4 Services de distribution . commerce de dtail d'accessoires de voyage: bagages . autres commerces de dtail d'accessoires de voyage en magasins spcialiss . commerce de dtail d'quipements pour la plonge sous-marine et les scaphandriers . commerce de dtail d'quipement pour le ski . commerce de dtail de matriel de camping et de randonne . commerce de dtail, magasins de souvenirs et cadeaux Note: Les services de franchisage sont mentionns dans la classification de l'AGCS, mais pas dans la CITAT. Section 5 Services d'ducation . coles d'htellerie . programmes d'enseignement suprieur de tourisme . coles de formation la gestion des activits rcratives et des parcs d'attraction . enseignement de disciplines associes au tourisme, non classes ailleurs . enseignement du ski Section 6 Services concernant l'environnement Note: La liste des services concernant l'environnement donne dans la classification de l'AGCS (services de voirie, services d'enlvement des ordures, services d'assainissement et services analogues, et autes services) peut englober de nombreux services relatifs au tourisme (comme le nettoyage des plages). La CITAT ne mentionne aucune activit concernant l'environnement Section 7 Services financiers . assurance-voyage . "tous services de rglement et de transferts montaires, y compris cartes de crdit, de paiement et similaires, chques de voyage et traites" (AGCS) Note: La classification de l'AGCS est plus dtaille que la CITAT et l'annexe de l'AGCS sur les services financiers est encore plus dtaille que la classification. Dans la CITAT, la catgorie "assurance-voyage" dsigne "l'assurance contre les accidents mortels pouvant intervenir l'occasion d'un voyage", alors qu'en gnral, elle englobe aussi l'assistance mdicale, l'hospitalisation, le rapatriement d'urgence pour raisons sanitaires et le rapatriement du corps en cas de dcs. Section 8 Services de sant et services sociaux . exercices physiques de mise en forme . clubs de voyage . socits d'aide aux voyageurs Note: Dans cette catgorie, ni la classification sectorielle ni la CITAT ne donnent de prcisions sur les services et les activits destins fournir des soins mdicaux spcialiss aux touristes. Section 9 Services relatifs au tourisme et aux voyages . htels et motels avec restaurants . htels et motels sans restaurant . foyers, abris ou refuges . terrains de camping, y compris terrains pour les caravanes . hbergement des fins sanitaires . autres facilitations de logement, non classes ailleurs . cafs et autres lieux de consommation . restaurants avec service complet . restaurants-minutes (prt--manger) et caftrias . restauration pour collectivits, traiteurs . kiosques et vendeurs de produits alimentaires, dbits de boissons en plein air . botes de nuit et dner-spectacles . agences de voyages . organisateurs de voyages forfait et grossistes . bureau de dlivrance de billets . guides Note: Les recommandations de l'OMC et de l'ONU concernant la classification type des logements touristiques sont plus prcises et utilisent une terminologie diffrente de celle de la CITAT. On voit qu'il y a un rapport entre la catgorie "restaurants, cafs et cantines" et la classification des "Services relatifs au tourisme et aux voyages" dans le cadre de l'AGCS, bien que la CITAT considre que ces activits ne sont que partiellement consacres au tourisme, et qu'elles reprsentent un pourcentage moyen des ventes aux touristes et une part moyenne des achats touristiques (de 20 60 pour cent). Section 10 Services rcratifs, culturels et sportifs Note: Aucune des activits de ce genre figurant dans la CITAT n'est dfinie comme tant "entirement consacre" au tourisme; celles qui reprsentent un pourcentage moyen des ventes aux touristes sont notamment les suivantes: . activits d'art dramatique, de musique et autres activits artistiques . agences pour la vente de billets . autres activits de spectacle . parcs d'attractions . muses de toutes sortes . sites et monuments historiques . parcs naturels et animaliers . gestion des installations sportives . activits lies la pche de loisir . exploitation d'tablissements de jeux de hasard et de paris, casinos . organisation de foires et expositions caractre rcratif Section 11 Services de transport . services de chemins de fer interurbains pour le transport de passagers . services spciaux de circuits touristiques en chemins de fer . services rguliers d'autocars interurbains . circuits en autocar sur de longues distances . vhicules pour excursions locales . navires de croisires . location de navires avec quipages . transports par voies navigables intrieures de voyageurs logs bord . circuits locaux sur voies navigables intrieures . autres activits annexes aux transports terrestres . autres activits annexes aux transports par eau . autres activits annexes aux transports ariens . transports ariens rguliers de passagers . transports ariens non rguliers de passagers . Location d'aronefs avec quipage Note: Ni la classification de l'AGCS ni la CITAT ne mentionnent les services de systmes informatiss de rservation (SIR). En revanche, ceuxci sont cependant mentionns dans l'Annexe de l'AGCS sur les services de transport arien. Section 12 Autres services non compris ailleurs . Organismes touristiques internationaux Source: Organisation mondiale du tourisme, Sminaire sur les consquences de l'AGCS pour le tourisme, 1995. Tableau 3 Recettes au titre du tourisme international en pourcentage du produit national (PNB)a des 25 pays o la contribution du tourisme au PNB est la plus importante 199519901985Recettes en pourcentage du PNBRangRecettes en pourcentage du PNBRangRecettes en pourcentage du PNBRangMaldives83,3167,9457,74Anguilla80,3276,1360,03Antigua-et-Barbuda72,3385,6270,72les Vierges britanniques69,5495,7174,71les Vierges des tats-Unis60,8551,9551,25les Cook56,3623,919--Sainte-Lucie51,0741,5926,211Macao42,0842,38--Guam41,7940,61132,19Bahamas41,61045,5746,16Aruba41,01140,312--Barbade40,41229,11626,012Guadeloupe38,21316,4268,827Jamaque33,81419,82223,613Saint-Kitts-et-Nevis31,11541,41040,37Gibraltar29,81649,8612,222Bermudes29,61730,51532,28Montserrat28,01819,02322,215Antilles nerlandaises27,91924,21717,217Martinique27,42017,2256,634Vanuatu27,22123,91815,619Saint-Vincent-et-les Grenadines23,22230,61420,916Grenade21,72318,02422,814Seychelles20,92435,61331,310Chypre20,82522,22015,718 a La liste ne comprend que les pays pour lesquels on dispose de donnes sur les recettes au titre du tourisme international et sur le PNB. Voir le tableau de rfrence dans l'appendice. Source: Calculs effectus par l'Organisation mondiale du tourisme (OMT) sur la base des donnes sur les recettes du tourisme fournies par les pays ou territoires et des donnes sur le PNB fournies par la Banque mondiale, Organisation mondiale du tourisme, Tourism Economic Report, 1998. Tableau 4 Nombre d'employs dans l'industrie htelire dans le monde, 1995 RgionNombre d'employs (en milliers)%Nombre de chambres (en milliers)Rapport nombre d'employs/ nombre de chambresTotal11 31710012 2490,9Afrique1 25911,13843,3Amrique4 06235,94 4940,9 Carabes2789,91651,7 Amrique centrale2326,5484,8 Amrique du Nord2 2684,23 7540,6 Amrique du Sud1 2844,85272,4Asie-Pacifique2 86225,31 7011,7 Asie du Nord-Est1 12016,67591,5 Asie du Sud-Est7317,15651,3 Asie du Sud4720,01433,3 Australasie et Pacifique5394,02342,3Europe2 67923,75 4920,5 EEE1 87416,64 3650,4 Autres8057,11 1270,7Moyen-Orient4554,01792,5 a Htels enregistrs. b EEE = Espace conomique europen, ou membres de l'Union europenne et de l'Association europenne de libre-change. Source: Compilation tablie par l'Organisation mondiale du tourisme (OMT) sur la base de donnes de l'Association internationale de l'htellerie, Organisation mondiale du tourisme, Tourism Economic Report, 1998. Tableau 5 Emploi dans le secteur du tourisme dans les pays industriels, 1993 Nombre d'emplois (en milliers)Part de la main-d'uvre totale (en pourcentage)TotalDirectIndirectTotalDirectIndirectGrce36022014010,06,13,9Espagne 1 4003235779,15,43,7Suisse293205898,25,72,5Italie (1994)a1 7221,0636597,74,82,9France 1 2008953054,83,61,2Pays-Bas200149512,82,10,7Belgique 7455192,01,50,5Allemagne 1 8006,5Luxembourg 126,4Australie4586,0Portugal 2505,6Sude1533,4Danemark972,6Japon9901,6Autriche 58613,9tats-Unis 6 0005,1Canada 4674,0Norvge543,4Islande43,0Turquie1290,7 a Sixime rapport sur le tourisme en Italie, dition internationale 1996, Presidenza del Consiglio del Ministri Dipartimento del Turismo, pages 59-77. Source: OCDE, Politique du tourisme et tourisme international dans les pays de l'OCDE 1992-1993; tude spciale: le tourisme et l'emploi, 1995, page 14, Organisation mondiale du tourisme, Tourism Economic Report, 1998. Tableau 6 Recettes et dpenses au titre du tourisme international et des transports internationaux Analyse par groupements conomiques, balance pour 1995 (y compris des estimations pour les donnes manquantes) Solde des recettes et des dpenses au titre du tourisme et des transports internationauxSolde des recettes et des dpenses au titre du tourisme international (en milliards de dollars)Solde des recettes et des dpenses au titre des transports internationaux (en milliards de dollars)Monde000Organisation de coopration et de dveloppement conomiques (OCDE)-27,0-23,5-3,5Pays non membres27,0 23,53,5Communaut de dveloppement de l'Afrique australe (SADC)-0,5-0,2-0,2Association latino-amricaine d'intgration (ALADI)1,61,9-0,2Association des nations d'Asie du Sud-Est (ANASE)15,613,42,2Pays de l'ocan Indien (IOTO)20,916,44,4Union europenne (UE)-6,8-7,30,5Ocanie6,25,40,8Pays mditerranens58,157,70,4Moyen-Orient largi3,32,50,8Classification de la Banque mondialeaTranche de revenu et endettementPays faible revenu (=< 725 dollars)9,07,81,2 Gravement endetts-0,4-0,3-0,0 Modrment endetts5,23,31,9 Moins endetts4,24,8-0,6Pays revenus intermdiaires de la tranche infrieure (7262895 dollars)13,411,71,7Pays revenu intermdiaire de la tranche suprieure (28968 955 dollars)9,78,90,8 Gravement endetts6,76,7-0,1 Modrment endetts5,25,4-0,1 Moins endetts7,44,92,5 Non classs en fonction de l'endettement3,93,60,3Pays revenu lev-32,9-29,1-3,8 Membres de l'OCDE (>=8956dollars)-39,8-34,8-5,0 Non membres de l'OCDE (>=8956dollars)7,05,81,2Principale catgorie de produits exportsExportateurs de produits manufacturs-64,3-55,8-8,5Exportateurs de produits primaires autres que les combustibles2,72,40,4Exportateurs de combustibles (principalement le ptrole)-7,9-7,4-0,5Exportateurs de services4,94,40,5Exportateurs diversifis60,2 52,37,9Non classs par catgorie de produits exports3,63,50,2 a Les pays ou territoires de moins de 30 000 habitants ne sont pas classs par la Banque mondiale. Source: Estimations effectues par l'Organisation mondiale du tourisme (OMT) sur la base de donnes communiques par les pays ou territoires et par le Fonds montaire international (FMI), Organisation mondiale du tourisme, Tourism Economic Report, 1998. Tableau 7 Solde du compte du tourisme international ( l'exclusion des recettes au titre des transports internationaux) Pays enregistrant l'excdent le plus important, 1995, 1985 (>=1 milliard de dollars) Solde du compte du tourisme (en millions de dollars)19951985Espagne 21 1617 141tats-Unis 15 282-6 796Italie 15 0326 473France 11 1993 385Chine5 045936Thalande4 292891Turquie4 0451 158Singapour3 3391 047Indonsie3 056-66Mexique 3 011643Macao3 000-Autriche 2 9102 361Grce2 7841 060Australie2 496-856Inde2 345626Portugal 2 247902Argentine2 239376Malaisie2 119-536Philippines2 028957Suisse1 728746gypte1 522795Rpublique dominicaine1 519284Chypre1 490341Rpublique tchque1 245-Pologne1 200-66Bahamas1 133872Tunisie1 074425 Source: Organisation mondiale du tourisme (OMT), Tourism Economic Report, 1998. Tableau 8 Solde du compte du tourisme international ( l'exclusion des recettes et des dpenses au titre des transports internationaux) Pays enregistrant le dficit le plus important, 1995, 1985 (<=0,2 milliard de dollars) Solde du compte du tourisme (en millions de dollars)19951985Allemagne -34 454-8 061Japon-33 566-3 677Fdration de Russie-7 287-Pays-Bas-5 693-1 787Royaume-Uni -5 664751Taiwan, Chine-5 171-466Belgique -3 496-387Kowet-2 215-1 885Canada-2 208-1 027Brsil-2 148299Sude-1 975-777Norvge-1 835-967Venezuela-1 054-181Finlande-667-234Danemark-608-84Iran-415-481Isral-364552Pakistan-335-16Core, Rp. de-316178Bangladesh-206-22Libye-206-407 Source: Organisation mondiale du tourisme (OMT), Tourism Economic Report, 1998. Tableau 9 Solde des comptes du tourisme international et des transports touristiques internationaux Catgorie de pays, 1995 (Tourisme et transports >=+/-1 milliard de dollars, ou transports >=+/- 0,2milliard de dollars) Solde (en millions de dollars)Tourisme et transportTourismeTransportExcdent au titre du tourisme et des transports (43 au total)Espagne 21 88021 161719tats-Unis19 50315 2824 221Thalande4 9954 292703Mexique 3 3093 011298Malaisie2 5892 119470Portugal2 5792 247332gypte1 6991 522177Rpublique dominicaine1 5841 51965Chypre1 5561 49066Tunisie1 3391 074265Nouvelle-Zlande1 262880382Jamaque1 026921105Colombie37329344Excdent au titre du tourisme, dficit au titre des transports (29 au total)Italie 14 14715 032-885France10 56611 199-633Grce2 6592 784-125Australie2 4722 496-24Philippines1 9252 028-103Argentine1 8842 239-355Suisse1 5991 728-129Pologne1 1481 200-52Bahamas1 1201 133-13Porto Rico739995-256Dficit au titre du tourisme, excdent au titre des transports (22 au total) Pays-Bas-3 275-5 6932 418Belgique -3 248-3 496248Kowet-2 215-2 2150Venezuela-1 029-1 05425Finlande-427-667240Pakistan-6-335329Core, Rp. de642-316958Dficit au titre du tourisme et des transports (22 au total)Japon-42 084-33 566-8 518Allemagne -35 163-34 454-709Royaume-Uni -6 138-5 664-474Canada-3 262-2 208-1 054Brsil-2 624-2 148-476Sude-2 369-1 975-394 Source: Calculs effectus sur la base de donnes de l'Organisation mondiale du tourisme (OMT) et du Fonds montaire international (FMI), Organisation mondiale du tourisme, Tourism Economic Report, 1998. Tableau 10 Rcapitulation des engagements spcifiques PAYS09.A.09.B.09.C.09.D.TOTALAfrique du SudXXX3AngolaX1Antigua-et-BarbudaX1ArgentineXXXX4AustralieXXX3Autriche XXX3BangladeshX1BninX1BolivieXX2BotswanaXX2BrsilX1BulgarieXX2Burkina FasoXX2BurundiXXX3CamerounXX2CanadaXX2ChiliXXX3ColombieXX2Communaut europenneXXX3CongoXXX3Core, Rp. deXXX3Costa RicaXXX3Cte dIvoireXXX3CubaXXX3DjiboutiX1DominiqueX1gypteXXXX4El SalvadorXXX3mirats arabes unisXX2quateurXX2tats-Unis XXXX4FidjiX1FinlandeXXX3GabonXX2GambieXXX3GhanaXX2GrenadeX1GuatemalaXXXX4GuineXX2Guine-BissauX1GuyanaXX2HatiX1HondurasXXX3Hong KongXX2HongrieXX2les SalomonX1IndeXX2IndonsieXXX3IslandeXXX3IsralXXX3JamaqueXX2JaponXXX3KenyaXXX3KowetXXX3LesothoXXX3LiechtensteinXXX3MacaoXX2MalaisieXX2MalawiXXXX4MaliX1MalteXX2MarocXXXX4MauriceXXXX4MauritanieXXX3Mexique XXX3MongolieXXX3MyanmarXX2NamibieXX2NicaraguaXXX3NigerXXX3NigriaXXX3NorvgeXXX3Nouvelle-ZlandeXXX3OugandaXX2PakistanXX2PanamaXX2Papouasie-Nouvelle-GuineX1ParaguayXXX3ProuXX2PhilippinesXX2PologneXX2QatarX1Rpublique centrafricaineXXXX4Rpublique dominicaineXXX3Rpublique du CongoXXX3Rpublique slovaqueXXX3Rpublique tchqueXXX3RoumanieXXX3RwandaX1Saint-Kitts-et-NevisX1Saint-Vincent-et-les GrenadinesX1Sainte-LucieX1SngalXX2Sierra LeoneXXXX4SlovnieXX2Sri LankaXX2SudeXXX3SuisseXXX3SurinameXX2SwazilandX1TanzanieX1TchadXX2ThalandeXXX3TogoXXX3 TOTAL112895413268Trinit-et-TobagoXX2TunisieXX2TurquieXX2UruguayXXX3VenezuelaXXX3ZambieXXXX4ZimbabweXXX3Lgende: 09.A. Services d'htellerie et de restauration 09.B. Services d'agences de voyages et d'organisateurs touristiques 09.C. Services de guides touristiques 09.D. Autres services Tableau 11 Nombre de pays par mode de fourniture Services relatifs au tourisme et aux voyages Mode de fournitureAccs aux marchsTraitement nationalSans limitationPartielAbsence d'engagementSans limitationPartielAbsence d'engagement1) Fourniture transfrontires33493037482729%44%27%33%43%24%2) Consommation l'tranger55471058421249%42%9%52%38%11%3) Prsence commerciale258614961222%77%1%44%54%2%4) Prsence de personnes physiques110561290101%94%5%11%80%9% Tableau 12 Pourcentage par secteur et mode de fourniture Services relatifs au tourisme et aux voyages (Pourcentage pour chaque activit) I. ACCS AUX MARCHSFourniture transfrontiresConsommation l'trangerPrsence commercialePersonnes physiquesSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementServices d'htellerie et de restauration31%23%46%54%37%9%27%72%1%3%91%6%Services d'agences de voyages et d'oprateurs touristiques49%19%31%65%20%15%27%67%6%1%88%11%Services de guides touristiques56%7%37%78%13%9%41%54%6%0%85%15%Autres services38%31%31%38%54%8%23%69%8%0%92%8%II. TRAITEMENT NATIONALFourniture transfrontiresConsommation l'trangerPrsence commercialePersonnes physiquesSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementSans limi-tationPartielAbsence d'enga-gementServices d'htellerie et de restauration37%21%42%58%30%12%51%46%3%11%79%10%Services d'agences de voyages et d'oprateurs touristiques55%15%30%70%13%17%64%27%9%17%69%15%Services de guides touristiques59%4%37%85%4%11%76%15%9%13%67%20%Autres services54%23%23%62%38%0%54%46%0%23%69%8% Note: La somme des pourcentages peut tre diffrente de 100 car les chiffres sont arrondis. Le total est calcul sur la base des secteurs indiqus dans la liste. __________  Les diffrentes sections de cette note s'appuient sur les documents suivants: Economist, "Dream Factories: A Survey of Travel and Tourism", 10 janvier1998; Financial Times, "Survey: World Tourism", 18juin1998; CNUCED, Commerce international des services lis au tourisme: problmes et options pour les pays en dveloppement (TD/B/COM.1/EM.6/2, 8avril1998) et autres documents prsents la Runion d'experts sur le renforcement des capacits des pays en dveloppement dans le secteur du tourisme, Genve, 810juin1998; Organisation mondiale du tourisme, Tourisme international: perspective mondiale, Madrid, 1997; Organisation mondiale du tourisme, Sminaire sur les consquences de l'AGCS pour le tourisme, 1995; et Organisation mondiale du tourisme, Tourism Economic Report, 1998.  Dans la CPC, les services des guides de chasse indpendants et les services de gardes du corps sont exclus de la dfinition des services de guides touristiques (position 7472).  Site Internet de l'OCDE (http:/www.oecd.org/dsti/sti/transpor/tourism/act/stats.htm).  Une annexe sur les services lis au tourisme, tablie en coopration avec l'Organisation mondiale du tourisme, a t ajoute la Classification centrale des produits provisoire (pages141 144). Cette annexe extrait du corps de la CPC les catgories pertinentes relatives au tourisme.  La grande majorit des entreprises de tourisme sont des petites et moyennes entreprises prives. Certaines entreprises de voyages notamment, agences de voyages, services de rservation, htels, compagnies ariennes sont sous contrle public.  Il faut noter que les voyages intrieurs et internationaux sont substituables et sont trs influencs par le niveau du revenu par habitant et les conditions conomiques gnrales.  Ces chiffres ne tiennent pas compte des recettes nettes au titre des transports internationaux: en 1995, le transfert net entre les pays de l'OCDE et les pays non membres s'levait 3,5 milliards de dollars.  Dans les pays des Carabes, les voyages et le tourisme reprsentent plus de 25pour cent du PIB et 20pour cent de l'emploi.  Organisation mondiale du tourisme, Tourism Economic Report, 1998, page87.  Mme les pays dvelopps esprent crer des emplois en encourageant le tourisme. Toutefois, dans les pays de l'OCDE, les contraintes budgtaires ont oblig rduire les crdits destins la promotion du tourisme. D'ailleurs, les mesures de promotion ont souvent t critiques parce qu'elles taient juges inefficaces et parce qu'elles ne stimulaient pas l'innovation et l'esprit d'entreprise et posaient des problmes de comptence. En consquence, diffrents types de partenariats se sont dvelopps, notamment entre gouvernements et entre secteurs public et priv.  Selon l'OMT, le nombre d'emplois gnrs par le tourisme dans ces pays dpend en partie de la capacit et de la volont des entreprises de tourisme, des oprateurs et des pouvoirs publics locaux d'laborer des plans, de commercialiser efficacement les services et de toucher une clientle cible approprie (Organisation mondiale du commerce, Tourisme international: perspective mondiale, 1997, page 226).  Organisation mondiale du tourisme, Tourism Market Trends: 1997 Edition World, Madrid, 1997, pages35-36.  Les principaux SMD sont Amadeus (qui couvre 30 marchs dans le monde), Worldspan, Sabre, Galileo et System One.  Des codes de conduite et d'autres rglements concernant les SIR ont t tablis par le Canada, la Commission europenne de l'aviation civile, l'UE, l'Organisation de l'aviation civile internationale et les tatsUnis. Il semble cependant que ces codes et rglements s'appliquent principalement aux horaires des vols et non aux autres types d'informations.  Organisation mondiale du tourisme, Sminaire sur les consquences de l'AGCS pour le tourisme, 1995, page42.  L'industrie du tourisme a en fait jou un rle important dans la croissance rapide des IED dans le monde. D'aprs la CNUCED, les pays en dveloppement peuvent encourager les IED dans ce secteur en souscrivant des engagements dans le cadre de l'AGCS. Il faut cependant noter que, en ce qui concerne la prsence commerciale pour les services d'htellerie, des pratiques comme l'imposition de droits de douane levs sur les quipements hteliers peuvent tre un obstacle majeur aux IED.  Un problme majeur est celui des obstacles au mouvement des personnes physiques dans les situations qui ne ncessitent pas une prsence commerciale (par exemple, les cuisiniers pour les restaurants indiens).  Organisation mondiale du tourisme, Sminaire sur les consquences de l'AGCS pour le tourisme, 1995, pages29 et48.  Organisation mondiale du tourisme, Sminaire sur les consquences de l'AGCS pour le tourisme, 1995, page36.  Conseil mondial des voyages et du tourisme, Air Transport and Freer World Trade, version Internet (http://www.wttc.org/). Pour les petites compagnies ariennes nationales des pays en dveloppement, la dperdition due aux importations reprsente en gnral entre 65 et 70 pour cent des dpenses d'exploitation. D'aprs une tude de l'OMT intitule Aviation and Tourism Policies, certains pays dpensent plus pour protger leur transporteur national qu'ils ne gagnent grce leur industrie des voyages et du tourisme.  Le Conseil mondial des voyages et du tourisme estime que ce qui est crucial pour que le tourisme soit le moteur du dveloppement, c'est le service arien, et non le rgime de proprit des compagnies. Les privatisations rcentes pourraient dissuader les pays en dveloppement de protger leurs transporteurs nationaux. Il y a cependant un risque de domination du march par une seule compagnie.  Wolfgang Hein, Tourism and Sustainable Development, Hambourg, 1997 page7. Il faut noter que l'cotourisme lui-mme ncessite, en gnral, l'utilisation de combustibles fossiles entranant l'mission de gaz effet de serre pour le transport des touristes.  De nombreuses entreprises de tourisme prives, notamment des htels, ont tabli des programmes environnementaux.  Site Internet du Conseil mondial des voyages et du tourisme (http://www.wttc.org/).  Les listes de l'Autriche, de la Finlande et de la Sude sont comptes sparment car elles n'ont pas encore t intgres dans celle des Communauts europennes et de ses tats membres. Aruba, les Antilles nerlandaises et la NouvelleCaldonie ont galement prsent des listes, mais cellesci ne sont pas comptes sparment.  Ce paragraphe rvise et met jour les renseignements donns dans le document S/CSC/W/9, page3.  Ces adresses proviennent du site Internet du Conseil mondial des voyages et du tourisme (http://www.wttc.org/). a Certaines des activits figurant dans la CITAT qui ne sont pas lies la fourniture de services commerciaux (services administratifs, activits des syndicats) ne sont pas incluses dans cette liste. Certaines activits ont t regroupes pour des raisons de prsentation.   S/C/W/51 Page  PAGE 4 S/C/W/51 Page  PAGE 3 S/C/W/51 Page  PAGE 28 S/C/W/51 Page  PAGE 27  INCORPORER Word.Picture.8  "-/012;OY]ST$T7M1Cf1!2!U)+,,--//c2d266::>>[K\KXZYZP[Q[^`>b?bocpc@dAdUjVjqqss(t)t3y4yzzI{{7}8}oۅ܅6 j0JUCJ5:CJ,>* 5:CJ,["-./012;MNOYZ t0~ $$l0+p#$$l4+p# $$l4+p# $d$$$l4+p#`$$$dh$"-./012;MNOYZ[\]~ $w"%ɼs4Y   4Y   )Y   )Y   Y   j  Y   p   1p   1p  p @? 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Sous-titre4$@&2,2Table juridique5J#JTable des illustrations 6 ,>r,Titre7$ 5;KH**Title 28$>***Title 39$666 Title Country:$;H.HTitre de table juridique;5::TM 1<$0 " 5;88TM 2=$0 " :66TM 3>$0 "@J500TM 4?$0 " ::TM 5@$0 (" 6mH..TM 6A$p CJ..TM 7B$L CJ..TM 8C$( CJ..TM 9D$ CJJRJParagr. Num. - WTOE & FE hd$bdAdresse destinataireF&@ /+D CJOJQJ:TUVo789EF`abcdefghijklmno789:;<=[\]| !"#$%&'b c d  = "&D)2 !!""%$##$%&&)(''()aD3AP6  5 <87 [: 9aknFqt+*H+O7I,_5K-J8L6M.N9P/Q:R0S;T1U<V2^BW=Z>3?41:789789:;<=[\]| !"#$%&'b c d g     !"#$%&'()*+,-./0123456789:;<=>?@ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ[\]^_`ab $   Vu 0 l,2$j|{PںNy-@2"[!( %0 <  # Yx  <P H  C Xx  <3> H  C Wx   < N H   C VH  C Ux  < 0G  H  C Tx  < S  H  C Rx  </; H  C Q x  <.: H  C Px  <O H ! 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OJQJo( OJQJo( OJQJo( OJQJo(hh. hhOJQJo(0.0.0.0()h.0()p0p()()p@ ()ho(0o(()p0po(()p0po(-0o(()0o(()0o(-p0po(()@ 0@ o(()ho(. 0OJQJo(-.h.h.h()()h.0()0()8h8-E222247 22222 >%~~}}||222247 22222 >%~}|222247 22222 >%<'z@uR @GTimes New Roman5Symbol3& Arial?5 Courier New"phz2Fz2F0dDouchetChambaz   FImage Microsoft Word MSWordDocWord.Picture.89qOh+'0x   ( 4 @ LX`hpRESTRICTEDCodeESTChambazham ϲʹDocf.dot PillonelVt2llObjectPool M۬Y M۬YWordDocumentu&$SummaryInformation( DocumentSummaryInformation8Y  bjbjWW &$==[e ]     44 D]|||||KKK ] ] ] ] ] ] ]$:^.`F/]K+A KKK/]M||"|MMMK, || ]K ]MMM}Wh ]|h0Y  M\$ Tableau 1: Classification des voyageurs internationaux Travailleurs frontaliers Immigrants temporaires6 Immigrants permanents6 Affaires et motifs profes-sionnels Nomades6 Rfugis8 Passagers en transit7 Membres des forces armes9 Diplomates9 Traitementmdical Reprsentants consulaires9 Touristes1 Visiteurs de la journe Visiteurs de la journe2 qui-pages5 Passagers en croisire3 Nationaux rsidant l'tranger Membres des quipages (non -rsidents)4 Non-rsidents (trangers) Motif principal de la visite Loisirs, dtente et vacances Visites des parents et amis Autres Religion et pleri-nages Visiteurs Inclus dans les statistiques du tourisme Voyageurs Non inclus dans les statistiques du tourisme 1 Tout visiteur qui passe au moins une nuit, mais pas plus d'une anne, dans le pays visit. 2 Visiteurs qui arrivent et repartent le mme jour, pour des motifs de loisirs, dtente et vacances; visites des parents et amis; affaires et motifs professionnels; traitement mdical; religion, plerinages et autres, y compris les visiteurs de la journe en route vers ou en provenance de leurs pays de destination. 3 Personnes qui arrivent dans un pays bord d'un navire de plaisance [tel que dfini par l'Organisation maritime internationale (OMI), 1965] et qui sont loges bord, mme si elles dbarquent pour des visites d'une ou de plusieurs journes. 4 Les quipages des navires ou des avions trangers en rparation ou faisant escale dans le pays et qui utilisent les moyens d'hbergement du pays. 5 Les quipages qui ne sont pas rsidents du pays visit et qui sjournent pour la journe. 6 Tels que dfinis par les Nations Unies dans les "Recommandations sur les statistiques des migrations internationales, 1980". 7 Qui ne quittent pas l'aire de transit de l'aroport ou du port, y compris le transfert entre aroports ou ports. 8 Selon la dfinition du Haut Commissariat des Nations Unies pour les rfugis, 1967. 9 Lorsqu'ils se dplacent de leur pays d'origine vers le pays o ils sont en poste et inversement (y compris les domestiques et les personnes charge qui les accompagnent ou les rejoignent). Source: Organisation mondiale du tourisme, repris dans: OCDE, Politique du tourisme et tourisme international dans les pays de l'OCDE, OCDE/GD(97)173, Paris, 1997. Z[348QRV`abctv    +-STUVot-09<hH*B*CJH*hmH nH B*CJhmH nH 5B*CJhmH nH  jUmHT[5678STUV$[5678STUVbcuv  ,-UVpqrst./0dVbcuv$  ,-UVpqrst$./0:;<ijklmnopqrstu$0:;<ijklmnopqrstuvwxyz{|}~$  U   ,uvwxyz{|}~$  U   S S V S$ '    V X   V >*CJmH CJmH  CJH*mH  $$N N!"#$%Oh+'0P    $08@HssDouchetoucNormalChambaz2amMicrosoft Word 8.0@@Y@Y՜.+,D՜.+,P  hp   OMC - ϲʹ-j  TitreTitle 6> _PID_GUIDAN{39067800-5134-11D2-BDAB-000629B0555C}h{Ƅwݬ*, &9OǭʢvʶtV^NYg?2k̥/˹^j eUe8'8,̛$)[.FfWussDT1=~[uqU/y1I-p/ltYQVTd Ica有En4Q&y)yahd&5HU\ԮX2;tvLgrsIx'.YͣDlIpD4]iȮved9YG؜p{^|q"Qǩauh"9PdPZX[|ԪL4" zk7xf$[YQ+ e^Dk03_ Ek!sԧtPS`AA3=sD3`,N*[ZŮS\E+(Ōמr]e͞$[gĥeF{Pgf+XÂZ,3 vJvY G.˕RQ0Me49 Y:9~/D֎#V)LKK1M@2Wi4"Vd9ca xDIA{ZZƁ䨰B]N >Qj e9 [Kd/'h\z``6r|uFyXrMdˤFX7X^[M|>F7ū۪ĺd=v[3V,^OQiw٥4Y{=l~,c ziĊ\e;^G!^G wYʶ;Ӻ"ukq6qsnZ)G !֋ *IiW0Ľ#3e2y1 r݅}33Y/l,=bKF7=/< W(6kp9שB_Ĕ)(5֎g F3Zo2 |(cTGcIP=Nre(s<Nl!9m=hJѺ=S.P_9i%J"3Nev_)"Yx5k_MS;;;܈;V;Zy#j2P&?u=:u١}JH=\gZHJO5D<VH`\ycYS=KO4DvtHWYxP? e2+&CY=P-J=ak(i+X rKt](S*ytѵ/1דP&hKGtBSvD'8{H9ꋫ)K?';@ʙ/|"~.JW<>4n1{&=;9vEǷZިjmMӱᱹ*Q(c_̱Ԇ<+2_* (s܃v<6TZGg?>eE?ǧK _٨>͆#ۧ6ᕰ'O,%K8G=ȭQ< 卂^`ORLTy3G>-;&5¦[^C5x2[@:-8/L6<#=WCؚs;эeOs#Ntb3err!Q-G]hyRH魀İQ@<=ĐSUSzh98!"tEɜtFYw6#K,؛i@-`b*`{obev! :dMp 1]!טt5ќt r9!2N}\ye"ٌLkȁ~5'5X;i;P&;{I/Λ e*3.1Table)MSummaryInformation(DocumentSummaryInformation8 CompObjjMicrosoft Word 8.0@@Y@`ѬY@`ѬY"?՜.+,D՜.+,< hp|  ϲʹeuj RESTRICTEDCode Titre(NV _PID_GUIDSymbol1AN{711360E7-97E8-11D1-BD86-000629B04860} S/C/W/51/  FDocument Microsoft Word MSWordDocWord.Document.89qP [4@4Normal $ CJmH B@"BTitre 1$ & Fp@& 5;>2>Titre 2$ & Fp@& h:>B>Titre 3$ & Fp@& h5:R:Titre 4$ & Fp@& h<<Titre 5 & Fp@& 6**Titre 6 @&**Titre 7 @&**Titre 8 @&* *Titre 9 @&2A@2Police par dfautl$lAdresse destinataire%&@ /+D  CJOJQJB&@BAppel note de bas de p.H*BB@BCorps de texte & Fp h@P"@Corps de texte 2  & Fp@Q2@Corps de texte 3  & FpLBLCorps de texte 47i 8DRDCorps de texte 5p 0@b0En-tte !2 2Index 1# ./.Liste0 222Liste 20 232Liste 3 242Liste 4p0 252Liste 5 :1:Liste numros  L:LListe numros 2 & FJ0 P;PListe numros 3 & FK P<PListe numros 4 & FLp0 P=PListe numros 5! & FM 60"6 Liste puces " & FNH62HListe puces 2# & FO0 L7BLListe puces 3$ & FP @N8RNListe puces 4% & FQp0 N9bNListe puces 5& & FR @Dr@Liste continue' HEHListe continue 2( DFDListe continue 3) HGHListe continue 4* HHHListe continue 5+p0 :T: Normal centr,B@BNote de bas de page-CJ.+. Note de fin.CJ,)@,Numro de pageJJParagr. Num. - WTO0 & FS h8 @8 Pied de page 1 !JM"JRetrait 1re ligne2 & F HC2HRetrait corps de texte 3RRBRRetrait corps de texte 24dPSRPRetrait corps de texte 3 5CJLN1bLRetrait corps et 1re lig.6*@r* Signature7.J. Sous-titre8$@&J#JTable des illustrations 9 2,2Table juridique:4Z4 Texte brut; CJOJQJ@-@Texte de macro<$ OJQJmH 6>6=$<@& 5;KHH.HTitre de table juridique>5DODTitre du document?$ 5;KHBOBTitre du document 2@$>*BBTitre du document 3A$6HHTitre du document PaysB$;*!r* Titre indexC::TM 1D$0 " 5;88TM 2E$0 " :66TM 3F$0 "@J500TM 4G$0 " ::TM 5H$0 (" 6mH((TM 6 I$pCJ((TM 7 J$LCJ((TM 8 K$(CJ((TM 9 L$CJBB Body Text 4M & Fu pmH :: Body Text 5 N & FqmH NYNExplorateur de documentO-D OJQJS1()+c.26:[GXVPW>^o_@`Ufmo(p3uv7y~ہu  $1SMY c :$nx}Hk~" "%ѝ J)J]JJ"@BDFHHHHHHHHHHHHHd܅L#Zw^x &'h˸f ~ҽ4zW&ga_ ywD`d2 , Y3)a#r8k'bTc\0k.) 4hrk7P     "$%\Zs) OBo&. !29;V]`t{~!!!!%:l,2$W+_t]J@(  `  0A ? ?B S  ?Ǚ !%4t _967881941 _967882357 _967883162 _980164863 _980165524 _980165730 _980165780 _980167853 _980170815 _980171019 _980171085 _980171109 _980228352 _980238301 _980238931 _980258078 _980678636                  @@@@@@@@@ @ @ @ @ @@@@                  oqvm            ( B M ` k n o    eeuvef)***?J}}azd}lm]_           ( B M N O ` k l m n  Chambaz%\\ZERMATT\DT2\#TPS\FRA\WORK\5102f.docChambaz:C:\TEMP\autorecover\Enregistrement automatique de5102f.asdChambaz:C:\TEMP\autorecover\Enregistrement automatique de5102f.asdChambaz%\\ZERMATT\DT2\#TPS\FRA\WORK\5102f.docChambaz:C:\TEMP\autorecover\Enregistrement automatique de5102f.asdChambaz:C:\TEMP\autorecover\Enregistrement automatique de5102f.asdChambaz:C:\TEMP\autorecover\Enregistrement automatique de5102f.asdChambaz%\\ZERMATT\DT2\#TPS\FRA\WORK\5102f.doc PillonelV%\\ZERMATT\DT2\#TPS\FRA\WORK\5102f.doc PillonelV(\\VERBIER\DT2\COMMON\#TDD\POOL\5102f.doc|2@!}0d ~xLc,Pf4&%L.$ں#:G47 ~{4Nmte'z0Ƌ0]<*`B%te >%b"&'+2괱MO_dD?jhO?>xkLoxgd.... 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